christelle quinton
artiste plasticienne
INSTALLATIONS
Installation-Patates
Dans le cadre de l'atelier artistique "Abrication Intime : marche, collecte et fabrication d'espaces poétiques dans la ville", auprès de La Fabrique des Impossibles pour "Rêvons Rue". (Paris)
En collaboration avec Elena.
Juillet 2012
Pommes de terre, carton, ficelles, posca bleu, planches de bois, plan de légume sauvage, avion en papier, fil de fer, chaussures, support métallique, feuille de papier.




Pénétrable à peau diptyque (apodictique)
" Le Temps d’une île "
Saint Genès de Lombaud (France)
Mai 2011
Abri (250 L x 120 l x 240 H cm) planches de bois à palettes, bois flotté, bambous, branches d’arbres, volets et suspensions de doudous avec du vieux cordage de filet de pêche // Doudous (environ 30)
tissus usagés (traces de peintures, brûlures, trous), laine, fil, rembourrage.




Epokhê
Mai 2009
20 photographies marouflées sur toile et sur bois ; enregistrement sonore // 75 x 90 cm (damier)




J'ai fait le clown
Avril 2009
Acrylique sur toiles, encre de Chine, terre, laine, textiles, 3 photographies marouflées sur bois, fil.
Etaler une troisième couche à l’existent : du vécu
dans l’épaisseur. Exhiber puis occulter. Déchirer, gratter...
et panser. Suspendre une lourdeur. Rétablir un contact.
Ajouter deux nez rouges au pénible.
Remettre à terre une intention.




Sans Titre (Le corps-image)
Novembre 2008
Environ 40 doudous (tissus usagés, rembourrage synthétique, fils, laines) // poste cassette avec enregistrement sonore.
Entassement de doudous malmenés (trous, brûlures) et enregistrement sonore diffusant les voix, les cris et les rires d’enfants sur une cour de récréation. Entre éloignement et proximité, perte et présence, déshumanisation et identification.


L'Informe, l'autre comble
« Mystères de Loire : Histoire(s) de Territoire(s)»
Exposition collective sur l’Île de Baure, La Ménitré (France)
Collaboration avec Sophie Mézière.
Mai 2008
Sculpture in situ grillage, argile, chaux éteinte, rodin de bois et moulage en plâtre.
Entourée par une végétation assez prolifique, située dans un carrefour dégagé sur les terres en friches de l’île de Baure (Maine et Loire), cette structure dont l’aspect rappelle la gueule ouverte d’un gros animal, s’intègre à l’environnement naturel dans lequel elle se greffe. Posé sur une souche d’arbre et relié dans la continuité d’un tronc renversé, le moule creux d’un corps recroquevillé (des épaules au bassin) est une invitation au refuge, à l’abri, au silence. À l’idée d’abri s’associe l’impossibilité d’être abrité : comment rentrer dans la peau d’un autre, sinon en la déformant ?
Le corps y est envisagé à la fois comme l’enveloppe qui protège, englobe, rassure, et aussi comme ce qui est à protéger, à envelopper. La dialectique intérieur/extérieur - de soi et du monde - est à expérimenter comme un mouvement permanent.




Sans Titre
Avril 2007
Pommes de pin, arbre creux et Flanelle (mon doudou d'enfant).



